Aujourd’hui, nous donnons la parole à nos partenaires le temps d’un article. Avez-vous déjà entendu parler de la RSE ? ♻️
Notre partenaire La Classe verte vous livre ses 3 raisons de mettre en place une démarche RSE dans votre entreprise.
Introduction :
La Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) se démocratise, et l’on voit de plus en plus d’entreprises de toute taille s’en saisir.
Les raisons qui poussent ces entreprises à prendre des engagements sur le plan social et environnemental sont multiples. La démarche peut être volontaire ou réglementaire, et la pression à s’engager peut venir de l’interne comme de l’externe.
Les avantages sont nombreux eux aussi, et participent directement à la performance des entreprises. Découvrez dans cet article 3 raisons de mettre en place une démarche RSE.
Raison n°1 : Développer sa marque employeur :
Selon une idée reçue encore très répandue, la RSE ne concernerait que les enjeux environnementaux. En réalité, toute démarche RSE alignée avec la norme internationale ISO 26000 intègre une dimension sociale et sociétale, et notamment sur les aspects des conditions de travail et des droits de l’homme.
Dans le contexte actuel de recherche de sens et d’épanouissement au travail, les entreprises ont besoin de renforcer et valoriser leur rôle d’employeur. La voie de la RSE est particulièrement adaptée face aux démissions en masse, à l’augmentation des risques psycho-sociaux (RPS), et aux taux de turn-over en hausse. C’est particulièrement important auprès des jeunes générations dont les attentes en matière d’engagements RSE sont plus élevées.
Évaluer et mesurer ses pratiques RH, mettre en place un plan de prévention Santé Sécurité au Travail (SST), ou encore favoriser la Qualité de Vie au Travail (QVT) sont des actions faisant partie d’une politique RSE globale et stratégique.
Avec à la clef une meilleure cohésion interne, et une marque employeur alignée avec les enjeux de notre époque.
Un indicateur démontre bien cette tendance de fond : d’après le Baromètre RSE Cegos de 2021, 86% des collaborateurs sont prêts à se reconvertir à un métier en lien avec la RSE.
Raison n°2 : Anticiper les risques et la réglementation :
Actuellement, les entreprises de toute taille et de tout secteur sont de plus en plus attendues au tournant en matière de RSE. Ainsi, 84% des français souhaitent que les entreprises françaises s’engagent en faveur des enjeux environnementaux, sociétaux et économiques. Selon eux, seulement 40% des grandes entreprises et 25% des multinationales répondent à cette attente (Ifop 2021).
Cette « pression » se fait également entendre du côté des investisseurs, des clients ou encore des marchés publics qui intègrent de plus en plus de critères et indicateurs RSE à leurs cahiers des charges.
Par ailleurs, le cadre politique et réglementaire est de plus en plus structuré autour de ces sujets. La Loi PACTE de 2019 a ainsi introduit dans le Code civil une nouvelle définition de l’entreprise, intégrant la prise en compte des impacts sociaux et environnementaux de ses activités, et dont découlent aujourd’hui les dispositifs de raison d’être et de société à mission.
Il est de plus en plus courant de voir des TPE, sous-traitants ou fournisseurs de grandes entreprises, devoir fournir des informations détaillées sur leur démarche RSE via des plateformes spécialisées comme EcoVadis. Autant anticiper et commencer dès maintenant à structurer sa démarche, pour ne pas être pris de court et risquer de perdre un contrat important face à une concurrence de plus en plus engagée.
De la TPE à la multinationale, mener une politique RSE est un facteur de prévention des risques réglementaires ou réputationnels non-négligeable. Pour cela, il sera important d’intégrer ses engagements RSE au cœur de sa stratégie d’entreprise, d’impliquer la gouvernance et d’en faire une réelle démarche d’amélioration continue.
Raison n°3 : Participer à la transition globale et sur son territoire :
Lorsque l’on met en place une démarche RSE, on choisit de prendre du recul sur les activités de son entreprise. On opère un « dézoom », et l’on observe son entreprise au regard de :
- Ses parties-prenantes, internes et externes, proches et éloignées,
- Son territoire immédiat, ses riverains, ses caractéristiques et ses enjeux propres,
- Les enjeux globaux, le changement climatique, les inégalités sociales : une prise de recul permettant d’établir un lien avec les 17 Objectifs du Développement Durable fixés par l’ONU.
Ce rôle de l’entreprise comme un acteur contributeur de son territoire semble parfois inné pour certains dirigeants. Ils sont engagés dans différents groupes d’entrepreneurs, mènent des actions de sponsoring voire de mécénat.
Mais pour beaucoup, cette contribution « locale » manque de réflexion stratégique, d’objectifs ou d’un réel passage à l’action. Seulement 25% des PME-ETI ont mis en place un réel plan d’action RSE alors qu’elles sont 50% à déclarer intégrer une politique RSE.
Ainsi, on pourrait aisément reconnaître un manque de stratégie RSE si une entreprise est reconnue sur territoire comme très engagée dans la transition écologique mais avec une mauvaise réputation en matière de conditions de travail.
Le mot de la fin :
Les tendances actuelles démontrent bien que l’entreprise a tout intérêt à se considérer comme un acteur à part entière de la société. Chaque petit pas, chaque engagement compte.
C’est pour toutes ces raisons (et pas seulement) que les fondatrices de La Classe Verte ont créé une solution inédite pour permettre aux organisations, quelque soit leur taille, de mettre en place une démarche responsable et de la valoriser.
Accessible pendant 1 an et réalisable en 4 mois, le Programme La Classe Verte est le seul parcours de formation en ligne en communication et en RSE, combiné à une communauté et de l’accompagnement personnalisé, pour vous permettre de déployer votre impact positif.
Toutes deux consultantes et formatrices en marketing digital et en RSE, Tiphaine Vidal et Marie-Lou Deschamps partagent leurs expertises, ressources et outils dans le programme La Classe Verte 🌍